> L’alternance chez Kirving avec Christophe CHADRIN – étudiant à l’Académie du PLM
https://www.kirving.fr/2020/08/24/lalternance-chez-kirving-avec-christophe-chadrin/ [...]
Je suis en CDI depuis 5 ans dans l’entreprise Zodiac Seats en tant que Technicien CAO PLM. Mon rôle au sein de l’entreprise est un rôle de support au concepteur du bureau d’études (CAO) et de support PLM. Avant ça j’ai fait une licence professionnelle Conception Réalisation d’Outillage en 2006 et 7 ans de conception d’outillages en bureau d’études dans le domaine de l’automobile.
Je voulais évoluer dans ma société et pour cela il me fallait un bac+5. C’est ce qu’offre l’Académie du PLM. La durée de la formation m’a aussi attiré puisqu’elle permet l’obtention d’un équivalent master en un an au lieu de deux.
Il faut savoir être à l’écoute, avoir un bon esprit d’analyse, savoir s’adapter et prendre de la hauteur pour avoir une vision plus large de la situation.
Pour moi ce n’était pas une question de choix mais d’opportunité.
Cette formation m’a permis d’acquérir de nouvelles connaissances de gestion de projet PLM, de remettre de l’ordre dans la méthodologie de façon générale, de voir d’autres process, d’établir des liens professionnels que je n’avais pas forcément auparavant. Le gros point fort de la formation c’est le fait que tous les intervenants sont des professionnels du PLM.
Personnellement cette formation m’a fait me remettre en question. Elle m’a aidé au niveau du développement personnel et elle permet de se relancer professionnellement, de ne pas rester sur ses acquis et de sortir de sa zone de confort.
Il faut essayer de faire des liens entre les matières étudiées dès le départ et tout au long de l’année. Peut-être qu’il serait aussi intéressant pour les candidats issus de parcours informatiques de faire une veille professionnelle avant l’entrée en formation sur ce qu’est l’industrie pour mieux saisir le contexte métier.
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Mon background était majoritairement informatique avec quelques missions dans l’industrie. J’ai validé une licence professionnelle Réseaux et Télécommunication spécialité Qualité et Sécurité des Systèmes d’Information et au total j’ai cumulé une quinzaine d’années d’expérience avant d’intégrer l’Académie du PLM.
J’ai été contacté par l’APEC qui m’a présenté la formation. J’ai choisi de l’intégrer pour avoir un diplôme de niveau supérieur et acquérir les compétences managériales liées à la gestion de projet.
Il faut savoir prendre de la hauteur car la nature transverse du PLM exige des compétences relationnelles pour communiquer avec tous les différents acteurs du PLM. Et il faut aussi être organisé.
C’est un métier qui offre des opportunités d’emploi inégalées aujourd’hui sur le marché du travail car elle implique tous les corps de métier de l’entreprise avec des possibilités d’évolution en perspective. D’autre part, le salaire est aussi très attrayant.
Compte tenu du niveau élevé (bac +5), cette formation est exigeante. Elle touche à la fois des missions informatiques et industrielles. Les matières sont très variées et dispensées par des intervenant experts dans leur domaine de compétences. Le plus gros point fort de la formation est le rythme de l’alternance avec un mois en entreprise et un mois à l’école.
La formation m’a permis de m’introspecter sur mes soft et hard skills.
Il ne faut pas négliger l’anglais. Dès le départ il faut bien le travailler pour avoir un score de 750 au TOEIC à la fin de l’année. De manière générale il faut se mettre dans le rythme de la formation dès le début et il faut se projeter en tant que Consultant fonctionnel PLM pour rester motivé.
Je suis déjà dans l’emploi par la nature de mon contrat. J’ai intégré EDF en octobre 2018 dans la branche PLM. Des pistes d’embauche sont en cours mais actuellement je me concentre sur l’obtention du diplôme.
Mon background était majoritairement informatique avec quelques missions dans l’industrie. J’ai validé une licence professionnelle Réseaux et Télécommunication spécialité Qualité et Sécurité des Systèmes d’Information et au total j’ai cumulé une quinzaine d’années d’expérience avant d’intégrer l’Académie du PLM.
Titulaire d’un Master en Mécatronique et énergie, j’ai un background de technico-commercial et d’automaticien dans les systèmes industriels. Aujourd’hui je suis en stage alterné dans une ESN (Entreprise Service Numérique) Inensia en milieu anglophone plus précisément à Sofia.
Je recherchais une reconversion dans le numérique. Le métier de Consultant Fonctionnel PLM en parfaite adéquation avec mes connaissances de l’industrie me permettait d’acquérir un panel de compétences entre le fonctionnel et le technique dans l’IT (Technologies de l’information).
J’ai été contacté par l’Académie du PLM via un recrutement qui m’a donné les infos sur le métier. Pour moi c’était une découverte, je n’avais jamais entendu parler du PLM. À l’heure de la transformation numérique, cela s’est révélé être une opportunité pour moi de me reconvertir dans l’industrie numérique qui est en pleine révolution 4.0.
Il faut savoir être empathique et avoir une bonne capacité d’écoute pour comprendre les clients et les aider à exprimer leurs besoins.
La formation est intense et complète. En une année, en plus des cours et de la pratique en entreprise, on fait aussi de la gestion de projet, du développement personnel et on voit les aspects très techniques du PLM.
Je dois implémenter un modèle de données spécifiques dans un outil PLM.
Il faut savoir s’adapter aux changements (professionnels et personnels) dans un secteur en pleine émergence qui demande une certaine connaissance de l’industrie.
J’ai déjà eu des opportunités d’emploi très intéressantes pendant la formation de la part d’ESN pour des entreprises de grande renommée.
Je suis en formation initiale. J’ai mis à profit cette opportunité de formation afin de me reconvertir professionnellement. Mon background : maîtrise en ingénierie mécanique, option traitement des signaux.
Après avoir travaillé chez Ventes Privées et utilisé leur outil numérique, cela me semblait être cohérent et dans la continuité logique d’évoluer avec le PLM, c’est pour cette raison que j’ai choisi d’intégrer la formation.
Il faut avoir un bon relationnel sans tomber dans la familiarité. Il faut aussi rester à l’écoute et savoir expliquer clairement, se mettre au niveau de son interlocuteur et reformuler si nécessaire pour faciliter la compréhension.
Je suis attiré par le monde de l’informatique et dans le PLM, il y a des opportunités pour acquérir des compétences professionnelles telles que le business (analyse fonctionnelle), informatiques et relationnelles.
Elle m’a permis de prendre de la hauteur et de mieux comprendre l’industrie, d’avoir une vue globale de l’industrie. Globalement cette formation m’a apporté la crédibilité professionnelle dont j’avais besoin.
Je lui conseillerais de ne pas négliger l’anglais car il faut valider le TOEIC pour valider le diplôme. Je lui conseillerais aussi de se constituer un bagage technique avant de commencer les cours.
Oui, d’ailleurs j’ai signé un contrat d’embauche avant la fin de mon parcours.
J’aime reprendre l’expression de Monsieur Alain Kerignard, mon responsable au sein du groupe Daher qui définit le PLM comme un ensemble de solutions métier s’appliquant au produit tout au long de son cycle de vie, c’est-à-dire du concept à la fin de vie. Selon moi il s’agit d’une solution, je dirais même plus, d’une philosophie qu’on peut rattacher au « lean engineering », celle-ci permettant une meilleure collaboration entre les services afin de résoudre les problématiques industrielles actuelles (financières, Time-to-Market, réactivité, qualité…).
D’une part car, lors de l’apparition de l’Académie du PLM un certificat consulaire était délivré et non pas un diplôme. Ce qui est maintenant le cas grâce au partenariat avec l’école 3IL. D’autre part, l’entreprise dans laquelle j’effectuai mon stage l’an passé avait songé à m’embaucher, ce qui n’a pas pu se concrétiser en raison de mon faible niveau d’expérience. Afin de réduire l’écart en terme d’expérience professionnelle qui me faisait défaut, j’ai intégré l’Académie pour la deuxième fois. L’objectif était double : obtenir un diplôme reconnu au RNCP et réaliser mon alternance dans une entreprise industrielle utilisant le PLM puisque ma première alternance s’était déroulée dans une ESN, appelée plus communément SSII.
L’amélioration continue de la formation par l’encadrement pédagogique est l’un des éléments clés. Nous sommes sollicités tout au long de l’année afin de donner un retour quant à la qualité des enseignements et j’ai moi-même mis en place un outil de retour d’expérience à remplir en fin d’année. Outre les échanges quotidiens avec notre responsable qui nous permettent d’échanger à chaud, cet outil permettra de rendre compte des axes d’amélioration attendues.
Au-delà de cet aspect, nous avions cette année une promotion très hétérogène, aux profils variés. Un réel avantage qui permet de s’ouvrir aux autres en appréhendant un point de vue différent.
En effet, cette amélioration concerne autant le diplôme, l’organisation pédagogique que le contenu des cours. Tout d’abord, la volonté d’une formation diplômante s’est concrétisée comme dit précédemment. Ensuite, en termes de cours, un tronc commun avec les cours dispensés par l’institut d’ingénierie 3IL Academy permet d’enseigner une culture commune aux futurs acteurs de l’industrie 4.0. Enfin, certains nouveaux enseignants ont intégrés l’école grâce au partenariat également.
Disons que nous explorons trois casquettes durant la formation.
Celle du consultant, les savoir faire apportés concernent des méthodes génériques, un travail conséquent sur le recueil du besoin, les « bonnes pratiques » à mener ainsi que les workshops, soit la gestion des travaux collaboratifs.
Celle de l’expert PLM avec l’appropriation des logiciels PLM. Nous avons été initié en cours avec le logiciel Aras et aussi la réalisation d’un cahier des charges. Nous travaillons également sur Windchill qui est le troisième logiciel PLM en France, en terme de part de marché. Quant à Aras, il a aussi sa place sur le marché, ce qui améliore notre employabilité.
Celle du gestionnaire de projet car nous avons eu à travailler sur diverses méthodes, notamment la méthode traditionnelle en cascade ainsi que la méthode Agile.
J’ai tous les outils en main et j’ai déjà été contacté par une société de conseil experte en PLM. Par ailleurs j’attends un retour d’une société de conseil.
Retrouvez le profil LinkedIn de Dylan
À 23 ans, Madeline FAURE a déjà suivi plusieurs chemins professionnels, Bac Scientifique, BTS Tourisme Ventes et Productions Touristiques à Chamalières, Licence Gestion d’entreprise. En découvrant la gestion de projet, la jeune femme se plaît à relever de nouveaux défis, notamment en stage au sein de l’entreprise Michelin, dans le domaine des Systèmes d’information. Puis un jour, elle passe la porte de l’Académie du PLM de Vichy…
Il est difficile de donner une définition exacte du PLM, tous les professionnels du milieu le diront. Le PLM, c’est un concept, une nouvelle façon de travailler qui permet à tous les acteurs qui interviennent dans la vie du produit de mieux collaborer ensemble en partageant l’information sur le produit et tous les éléments qui gravitent autour de ce dernier.
La plus grande force de la formation est d’être innovante et son pari de former des personnes au PLM est un excellent choix. J’ai vu qu’avec la mention PLM sur mon profil Linkedin et mon CV déposé sur le site de l’Apec, j’ai vivement suscité l’intérêt de nombreux recruteurs.
J’ai passé plusieurs mois sur le projet PLM Michelin et j’ai pu acquérir une connaissance globale sur le fonctionnement du programme ainsi que les concepts mis en oeuvre. Cela m’a permis d’avoir une offre en tant que consultante CAO / PLM junior auprès de la société de service Accenture.
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